Scénario 1 : La quête de l'ancien temps...

Un marchand ambulant arriva à proximité du campement des Explorateurs. Faisant sonner sa cloche pour prévenir de son arrivée, il s'approcha des tentes. Derrière lui, se trouvait une roulette rempli de nombreux objets, armes et autres babioles en tout genre. Un fois arrivé au milieu du campement, il fit sonner sa cloche une nouvelle fois en criant :7

"- Hola nobles voyageurs ! Me voici, moi Georgio le vendeur ambulant ! Approchez donc, venez voir, il se pourrait bien que j'ai des choses intéressantes à vous proposer !"



Il reposa sa cloche et se mit à préparer son étale. Sortant des armes en plus ou moins bon état, des rouleaux de vieux parchemins, des vêtements à la mode et d'autres datant de plusieurs générations.

Elric fut surpris d'entendre sonner une cloche par 2 fois dans le campement.
Curieux de savoir lequel des Explorateurs essayait un nouveau joujou, il se dirigea vers l'endroit d'où provenait le son de cloche.
Arrivé sur place, il fut surpris de voir ce qui semblait être un marchand avec une roulotte, c'était plutôt inhabituel comme visite.

Il s'approcha du personnage :

Bonjour Messire, que nous vaut l'honneur de votre présence en ces lieux?

Georgio le marchand :

- Bien le bonjour noble seigneur.

La marchand s'inclina pour saluer Elric.

- Je me nomme Georgio, je parcours les villages et les campements pour offrir mes modestes objets. Peut-être trouverez vous quelque chose d'intéressant...

L'homme s'éloigna en prenant un air mystérieux et en présentant d'un geste de la main son étal.

Tu vois devant toi, un grande nombre d'armes plus ou moins neuves, des vêtements pour hommes et femmes. Certains sont à la mode, d'autres non. Des parchemins à l'air ancien sont également présents. Mais ils sont enroulés, tu ne peux pas savoir ce qu'ils contiennent. De la nourriture est également présente, un peu d'épice, des bouteilles de liquide sans étiquettes attendent posées sur le sol.

C'est quoi ça ? Pensa Kathleen en entendant la cloche.

Elle regarda sa montre mais il n'était pas midi pour que quelqu'un s'amuse à sonner la cantine et elle ne se rappelait pas qu'un signal d'alarme ait ce format archaîque...

Elle quitta son bureau à la trésorerie pour aller jeter un coup d'oeil. De loin, elle aperçut l'étal où s'empilaient moult affaires et pressa le pas pour rejoindre Elric. Elle lui sourit avec un petit air interrogatif, puis salua le nouveau venu.

- Bonjour Monsieur ! C'est à vendre tout ça ?

Elle écarquillait les yeux devant les amas divers et variés mais ses yeux revenaient invariablement sur les quelques robes exposées. Artham lui en avait offert tout un stock avec des tenues plus sublimes les unes que les autres, elle en avait des pratiques pour tous les jours qu'elle avait sauvées de son tri de la malle mais... Sait-on jamais, un petit ensemble tout mimi, là dans un coin peut-être...
En même temps qu'elle fouillait des yeux, elle comptait sur ses doigts les tickets d'appro épargnés depuis son passage au Palais... Il allait falloir négocier sec.

Le marchand remarqua l'intérêt d'Elric pour les bouteilles et pour les parchemins. Il prit une bouteille remplit d'un liquide rouge foncé et la montra à Elric.

- Je vois que monsieur sait reconnaître les belles choses... Ces parchemins sont dans ma famille depuis de nombreuses générations. Ils relatent tous une histoire différente, certaines parlent d'amour, d'autres d'aventures ou de trésors...

Tu constates effectivement que les parchemins ont l'air ancien. Ils sont usés mais toujours en bon état. Tu as l'impression qu'il s'agit d'originaux.

Le marchand reprit.

- Et voici une bouteille. Elle vient d'un lointain pays aujourd'hui disparu... On dit que cette boisson réchauffe les coeurs et guérit les âmes. Mais aimez-vous boire monseigneur ? Je pourrais vous proposer plusieurs bouteilles pour une modique somme...

Georgio débouche la bouteille et l'approche d'Elric pour lui faire sentir l'odeur de la boisson.

- Sentez-moi ce doux nectar, cet élixir de vie ! Ces doux parfums de noisette et de fruits.

Voyant Katlheen arrivé, il se tourne vers elle en laissant la bouteille à Elric.

- Bien le bonjour belle demoiselle. Tout ce que vous voyez est à vendre. Je suis sûr que j'ai quelque chose qui pourrait vous plaire. Voyons voir...

Le marchand réfléchit quelques instants, fouillant parmi les vêtements. Il en tire un puis regarde alternativement Kathleen et la robe. Mais finalement il hoche la tête déçu et la range. Il en cherche une nouvelle, elle semble mieux lui convenir. Il l'approche de Kathleen.

Tu vois que le marchand t'a sorti une petite robe.



- Que diriez vous de celle là ? Je suis sûr qu'elle vous ira à ravir !

Elric n'eut pas temps de répondr aux diverses questions de Georgio qu'il s'occupait déjà de Kathleen, lui laissant une bouteille ouverte entre les mains...

Il huma à nouveau tranquillement l'odeur se dégageant de la bouteille et la referma soigneusement...
Il se mit à penser qu'une bouteille à donner à analyser à Tristelune pourrait être intéressante, si ce marchand ne lui racontait pas de balivernes quant aux effets potentiels de la boisson... C'était tentant, li devait y réfléchir...

Il posa la bouteille devant lui et reprit les parchemins en mains. Ils lui semblaient vraiment être des originaux plutôt anciens... Tus ces parchemins ne l'intéresseraient certainement pas, mais si certains pouvaient l'aider sans sa quête... Il fallait qu'il demande à Georgio ce que chacun de ces parchemins relataient...

Il se tourna vers lui et Dame Kathleen :

Dame Kathleen, vous devriez essayer cette robe, si Messire Georgio vous le permet, histoire de voir sur vous ce que cela donne, mais je suis convaincu que le résultat devrait être parfait...

Dites moi Messire Georgio, pouvez-vous me dire ce que contiennent chacun de ces parchemins je vous prie?

La jeune femme n'avait d'yeux que pour la petite robe que le marchand lui présentait. Elle tendit le bras pour attraper le cintre et plaça le vêtement contre elle pour en vérifier la taille. Cela avait l'air de convenir, en effet. Le tissu était très doux et léger, parfait pour une soirée romantique dans la chaleur d'Arrakis.

- Peut-être pas l'essayer ici quand même ! Mais voyez déjà comme ça. Vous croyez que ça plaira à Artham ?

Elle rougit légèrement de sa question, mais il était trop tard. Fixant alors le marchand elle lui demanda combien il en voulait.

Georgio revint vers Elric.

- Ah seigneur... Ces parchemins... Ils racontent l'histoire d'un de mes ancêtres Mario. Toute sa vie et ses aventures sont consignés là dedans. Savez-vous qu'il était marchand comme moi ? Il a parcouru cette planète voilà bien des années. Traversant les plaines désertiques il apportait de la joie et de la bonne humeur aux villes isolées... Mais l'histoire la plus intéressante est celle-ci...

Georgio tend un parchemin à Elric.

- Celui-ci parle d'un trésor... Je vous ai dit que c'était des histoires. Mais ce n'est pas tout à fait vrai.

Il s'approche de ton oreille et parle à voix basse de façon que Kathleen n'entende pas.

- Tout ce qui est écrit s'est vraiment passé messire. Mon ancêtre Mario parle d'un trésor qu'il aurait trouvé sur cette planète. Malheureusement nous n'avons jamais pu le trouver. Je vous laisse lire plus en détail monseigneur...

Elric, tu peux lire sur le parchemin qu'il est intitulé : La vie de Mario, mon jour de gloire ?
En l'ouvrant tu peux lire tout le récit de ce marchand jusqu'à ce qu'il parle de trouver un trésor. Il ne décrit pas ce que contient le trésor, mais visiblement c'est quelque chose d'assez fabuleux et mystérieux. Le récit s'arrête au moment où il indique l'avoir trouvé. Auparavant tu peux te rendre compte qu'il parle d'une carte qu'il aurait laissé indiquant un lieu où se trouvait le trésor. Mais tu as beau parcourir le parchemin, tu ne trouves rien. Pas la moindre carte ni indication plus précise.

Le marchand se détourna d'Elric et applaudit en voyant Kathleen.

- Je suis sûr qu'elle vous ira à ravir ! Je sens qu'elle a été faite pour vous. Vous allez faire battre bien des coeurs douce demoiselle. Vous êtes déjà bellissima !

Réflechissant à la question du prix, il se tourna quelques instants consultant un petit cahier. Il revient vers toi.

- Cette robe coûte 130 solaris. Dois-je l'emballer ?

Kathleen, tu peux voir Elric en train de manipuler un parchemin. Auparavant tu as vu le marchand parler à voix basse mais sans avoir entendu ce qu'il se disait.

- 130 solaris ??!!

Une vieille expression à propos de Napolitains lui revint en mémoire, même si elle ne se souvenait plus trop des détails historiques qui remontaient sûrement à la nuit des temps.

- Hum... Je n'ai pas une telle somme à investir dans une robe, mais j'ai des tickets d'appro si vous acceptez ce genre de transactions.

Elle sortit quelques billets tamponnés de l'armée khandjare et les compta :

- 10 de lecture de dossiers, 5 par mois depuis hum... Le passage au Palais... Les 2-3 qui me restaient... Bon disons 15 tickets, cela vous convient-il ?

Elle jetait régulièrement des coups d'oeil à Elric, tout à l'observation de plein de vieux documents qui parlaient de trésor... Le seul mot qui l'avait interpelé dans la conversation entre l'Explorateur et le marchand, continuée ensuite à voix basse.

S'étant rapproché silencieusement, Fenrhur se glissa près de Kathleen.

Vous êtes absolument RA-VI-SANTE, comme d'habitude.

Fenhrur fait un clin d'oeil visible uniquement par Kathleen, puis, désignant un endroit en parfait état:

Mais regardez, l'étoffe est effilée ici! Et là, la couleur à passée! Cette robe est très belle mais il faudra du travail pour lui rendre son éclat originel, c'est regrettable. Elle vaut au mieux 90 solaris.

Tout en marchandant, Fenrhur détaillait du regard l'étal, cherchant un objet, quelque chose qui pourrait être intéressant ou utile.

Avant que Georgio ne vienne lui parler, Elric répondit à Kathleen :

Si cette robe plaira à Artham ? Oh, mais c'est une évidence Dame Kathleen, vous pouvez me croire!

Puis, il se concentra sur les paroles de Georgio.
Il lut le parchemin et fut intrigué par celui-ci. Il trouvait étonnant que le parchemin se finisse sans plus de précision, ni sans cette carte dont il parlait.

Messire Georgio ?

Quand celui-ci fut proche de lui, il lui parla à voix basse de manière à ce que personne ne puisse les entendre :

Dites moi, il est mentionné une carte dans ce document, mais je ne la vois nulle part... L'auriez-vous mise de côté ? Savez-vous ce qu'elle est devenue ? Avez-vous d'autres documents relatif à cette quête de votre ancêtre Mario ?

Du coin de l'oeil, il avait vu arriver un fremen et le reconnut, il s'agissait de Fenrhur. Il le salua d'un signe de tête tout en attendant la réponse de Georgio.

A Elric : Georgio continue de te parler à voix basse.

- Une carte ? Hmm... En effet il se pourrait bien que je possède cette carte. Nous l'avons trouvé en même temps que les récits de Mario. Il nous la laissé avant d'emporter ses secrets avec lui... Voilà bien des années que nous l'avons.

Il ouvre un pan de son manteau, et tu peux voir un parchemin roulé dans une des poches. Visiblement il date de la même période que les autres... Il la referme rapidement.

Mais jamais nous n'avons pu trouver ce trésor... Peut-être réussiriez vous ?
Que diriez vous d'un petit marché entre nous ? Un petit partage du trésor ? Disons 50/50... Qu'en dites-vous ?

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A Kathleen et Fenrhur.

Georgio regarda d'un air perplexe Kathleen quand elle lui parla des tickets d'approvisionnement.

- Des tickets ? Ma que qu'est-ce donc que cela ?

Puis entendant Fenrhur parler de sa robe, son regard se ferme un peu comme si il avait été blessé de cette remarque.

- Un accros ? Impossible ! J'en ai pris le plus grand soin ! Monsieur a certainement beaucoup d'humour. Sentez la douceur de l'étoffe. Voyez sa qualité. Une si belle robe 90 solaris ? Cela me fait mal au coeur d'entendre cela. Mais comme vous m'êtes sympathique, je veux bien descendre à 120 solaris... Mais peut-être qu'un des ces messieurs serait assez galant pour vous faire ce petit cadeau...

Le marchand sourit en regardant alternativement Elric et Fenrhur.

Fenrhur, tu vois sur l'étal différentes armes plus ou moins anciennes, des épices, des babioles, d'autres vêtements. Certaines choses te paraissent plus ou moins anciennes.

Kathleen et Fenrhur : faites un jet de perception (jet d'agilité, j'ai juste besoin d'un jet de D20)

Après que Gorgio eut parlé, Fenrhur se tourne vers Kathleen, voit son regard pétillant vers la robe, se tourne alors vers Gorgio pour voir sur son visage un petit sourire de contentement avant de pousser un soupir:

Très bien, marché conclu pour 115 solaris. Chère Kathleen, c'est un plaisir de vous l'offrir, faites en également profiter une autre personne...

clin d'œil entendu à Kathleen, Fenrhur tend sa main droite pour sceller le marché.

Il détaille une nouvelle fois l'étal, plus méticuleusement:

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'Agilité' : 19

Le regard de Kathleen allait du marchand au Naïb et elle se trouvait très embarrassée. Il semblait que cela faisait plaisir à Fenrhur de leur faire ce cadeau, à Artham et elle, mais tout de même, elle avait simplement l'impression que cet achat n'était pas très raisonnable.

- Monsieur Georgio, cela doit faire un moment que vous n'êtes pas retourné à une colonie digne de ce nom. Etonnée qu'il ne connaisse pas les tickets.

- C'est simplement comme... un peu d'argent de poche, des bons à échanger, ce qui remplace la cartouche de tabac et le ticket d'aérotrain, bref le minimum syndical alors que nous ne recevons aucune solde et que nos récoltes en épice servent essentiellement la guerre contre les Inks. Vous voyez ce que je veux dire ? Si vous allez dans le quartier ouvrier, vous verrez que presque toute l'économie locale est basée sur ce genre de transactions. Certaines boutiques font des facilités aux Mentats en en reprenant quelques-uns. Par exemple l'épicerie fine au Palais et même le luthier de l'orchestre de la Cour ont accepté de les reprendre ! Et si, nous faisions moitié-moitié ? Je vous laisse hum... 13 tickets et Messire Fenrhur, s'il veut bien, bien sûr... * Ses joues rosissent légèrement * Complètera avec 50 solaris ?

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'Agilité' : 6

Après avoir entrevu le parchemin dans la poche du marchand, Elric était de plus en plus intrigué.

Il le laissa négocier la robe avec Kathleen et Fenrhur, et ce dernier semblant vouloir offrir cette magnifique robe lui-même, il décida de ne pas s'en mêler plus avant.

Il glissa quand même quelques commentaires, toujours à voix basse, à l'oreille de Georgio :

Messire, soyez raisonnable! Je vous accorde que ces parchemins vous appartiennent, mais vous n'avez rien pu en tirer. Si je venais à trouver ce fameux trésor, ce qui n'est pas acquis d'avance, c'est tout de même moi qui vais prendre tous les risques, car je doute que la tâche soit aisée. Et de plus, je vais devoir m'équiper pour cette quête. Donc, je veux bien faire un marché avec vous, mais le partage se fera plutôt 70% pour moi et 30% pour vous. Cela me parait tout à fait raisonnable, non?

Georgio écouta attentivement les propositions de Fenrhur et de Kathleen. Son regard se fit très intéressé en entendant celle du fremen. Il réfléchit quelques instants. Regardant la robe de temps en temps. Puis il tend également sa main et serre celle du Fremen.

- Marché conclu messire pour 115 solaris ! C'est un plaisir de faire affaire avec vous !

Puis se retournant vers Kathleen

- Vous avez raison gente dame. Je vais peu dans les colonies et les palais. Je préfère voyager à la rencontre des gens. Cependant si votre ami le souhaite, il peut me payer la moitié en épice. Là où je vais, les tickets que vous me proposez n'ont que peu de valeur... Mais passons... Désirez-vous que j'emballe cette robe ou préférez-vous l'essayer tout de suite ?

A kathleen : Suite à ton jet de perception, tu ne remarques rien de particulier. Tu vois juste un mouvement du marchand quand il parle à Elric.

A Fenrhur : Tu as vu le marchand ouvrir son manteau et montrer un parchemin à Elric et lui parler à voix basse. Tu ne sais pas de quoi il s'agit mais cela à l'air important, et tu as l'impression que le marchand cache ce parchemin quand il referme son manteau.
En détaillant un peu plus l'étal, tu vois des bouteilles sans étiquettes sur le sol dont une près d'Elric. Tu vois également des épices : du curry, du venin de scorpion séché. Quelques fruits séchés sont présents. Des produits exotiques apparemment. Tu vois des armes assez classiques : glaives, Dai-Sho, Blasters... quelques distilles . Tu vois également des parchemins roulés qui ont l'air ancien. Il te semble voir certains objets fremen : Des amulettes, des livres de chants fremens et de prière à Shai-Hulud.


Après avoir conclut cette affaire, Georgio revient vers Elric, lui parlant toujours à voix basse.

- 70/30... Cela ne me convient pas... 30% c'est bien peu... Mais que diriez-vous de 60% pour vous et 40% pour moi ? Et je vous fournis une partie du matériel dont vous aurez besoin. Qu'en dites-vous monseigneur ?

A Elric : Si tu veux convaincre le marchand pour 70/30 ou pour une autre proposition, fait un jet de diplomatie. Si tu acceptes celle du marchand, pas de jet.

Elric écoute la proposition de Georgio... Il observe le marchand les sourcils froncés, réfléchissant à sa contre-proposition.

Certes, en cas de découverte, il n'empoche que 60% de ce qu'il trouve, mais le marchand lui fournira le matériel dont il a besoin...

Il se tourne enfin vers Georgio, et toujours murmurant :

Très bien Messire Georgio, 60 % de ce qui sera découvert me revient, les 40% restants étant pour vous. Et de plus, vous me fournissez tout le matériel nécessaire à cette quête, matériel que je conserverai, quel que soit le résultat de la quête, en guise de dédommagement du temps que j'y aurai consacré, nous sommes d'accord ?

Elric attend confirmation du marchand avant de sceller l'accord d'une poignée de main...

(HRP : n'étant pas sur que la proposition soit totalement identique, je te fais un jet de dé pour le cas où...)

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'Diplomatie' : 87

Georgio réfléchit quelques instants à la proposition d'Elric. Elle différait peu de la sienne. Elle lui semblait acceptable... Il fit un grand sourire à Elric, lui parlant toujours à voix basse.


- J'accepte Monseigneur ! Faite moi une liste de ce dont vous avez besoin... Je vais vous donner la carte, je vous fais confiance noble seigneur...

Georgio te tend le parchemin qui était caché dans ses vêtements. Il est roulé et semble aussi ancien que les autres.

S'adressant à Kathleen:

Ne vous inquiétez pas, cela me fait plaisir, je vous assure!

Il se retourne vers Gorgio:

Soit, cela m'arrange de payer une partie en épice. Avez vous une balance?

sans attendre sa réponse, Fenrhur se rapproche de l'étal pour en détailler le contenu.
Il manipule rapidement quelques distilles, en éprouvant la solidité de l'état, les repose doucement puis s'avance vers les livres.
Il en feuillette quelques uns rapidement, ne trouve que des banalités et se rabat alors sur les parchemins.
Ceux ci ne relatent que les pérégrinations d'un certain Mario, dont il n'avais jamais entendu parler.
Il les reposa délicatement, notant mentalement la ressemblance entre ces parchemins et celui qu'il avait aperçu dans les main du marchant.
Il se mit alors à fouiller dans les babioles fremens en tout genre, espérant y trouver autre chose que des banalités.

Kathleen fit une petite moue dépitée devant le refus du marchand et se tourna vers Fenrhur :

- Merci beaucoup alors, Naïb.

A Georgio.

- Vous pouvez l'embaler, elle m'ira, je n'ai pas de doute là-dessus.

S'approchant de l'étal, elle jeta son dévolu sur les fruits séchés, essayant d'en reconnaitre toutes les sortes puis s'adressa à Elric :

- Qu'avez-vous trouvé d'intéressant ? Avec un air dubitatif devant le monceau de "vieilleries".